LA PROTECTION DE LA FAMILLE
DES ENFANTS ET DES ADOLESCENTS
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Photo de couverture |
Si l’on excepte les polices spéciales, relatives notamment au droit pénal des affaires, les plus notables infractions retenues par le droit naturel tendent à la protection de la Personne humaine,
de la Famille et de la Société. Nous avons examiné ces infractions dans trois ouvrages ; le premier et le troisième ont déjà été publiés, voici le deuxième. En effet, la Famille constitue la clef de voûte d’une Nation : d’une part toute Personne ne peut s’épanouir qu’en son sein, d’autre part une Société ne peut prospérer que si elle repose sur des Familles solidement structurées. Ainsi la Famille assure la défense des individus contre les abus de pouvoir de l’État, et fournit à la Nation des citoyens formés à leurs devoirs envers la collectivité. Mais cet équilibre apparaît fragile : certains membres de la Famille cherchent à s’affranchir de sa tutelle, certains idéologues entendent accroître les pouvoirs de l’État en brisant les familles. D’où la difficulté pour dégager des règles préservant la liberté individuelle, tout en permettant à la Nation de se perpétuer et de progresser vers la recherche du bien commun. D’où le plan suivant :
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